Témoignage de Natalia
Élève du Cnam en licence professionnelle Responsable de collectivités locales, de projets européens, de projets urbains et d'environnement et en master Aménagement, villes et territoires, Natalia a souhaité apporter le témoignage de son passage au Cnam.
Intense, enrichissant et à continuer éternellement, mais maintenant avec modération !
"J’ai travaillé dans un hôtel en tant que responsable des réservations (j’y travaille encore mais je suis en train de finir mon stage à la mairie de Paris). J’avais fait une école en management hôtelier et en comptabilité à Buenos Aires comme formation initiale. Je cherchais à changer de voie pour un métier en lien avec l’amélioration des conditions de vie des gens. Suite à un bilan de compétences, mon dossier de prise en charge avait été refusé par le Fongecif pour un master que je voulais faire ailleurs qu'au Cnam. On m’a parlé du Conservatoire avec la possibilité de suivre des cours du soir, et je me suis inscrite ainsi à la licence Responsable de collectivités locales, de projets européens, de projets urbains et d'environnement avant d'intégrer le master Aménagement, villes et territoires."
"La diversité et le choix des matières m’ont poussée à choisir cette formation. La plupart des intervenants sont d’une qualité excellente, très impliqués et professionnels. Le nombre important d’échanges avec les élèves enrichit les cours et encourage les débats. D’autre part, la solidarité et la bonne ambiance parmi les élèves sont très importants lorsque vous vous engagez dans une formation chargée."
Ma reconnaissance au Cnam
"On conseille de faire chaque année en deux ans, si vous travaillez. En revanche, si vous tenez le rythme, c’est intéressant de faire l’ensemble des cours en même temps puisque l'on peut transposer les différents enseignements. Je trouve que c’est plus dynamique. Les profs sont tolérants et essayent de résoudre les problèmes matériels."
"Je suis très reconnaissante à l'égard du Cnam, des professeurs, de mes collègues de classe et de l'équipe administrative. Il y a bien évidemment des choses qui doivent s’améliorer puisque nous étions la première promotion (d'un point de vue organisationnel, de l'information et de la communication). J’espère que ce diplôme deviendra une référence dans le milieu professionnel afin d’appliquer les connaissances précieuses qui nous ont été transmises."
Une mission au départ impossible qui vient de se concrétiser
"Pour moi, cela était assez difficile au départ puisque je suivais pour la première fois des études en France (et en français). Le vocabulaire technique et la culture générale m’étaient alors inconnus. J’avoue que mes trois dernières années ont été entièrement consacrées au Cnam et à mon travail, ce qui implique une forte discipline, un rythme intense et la plupart des activités sociales, sportives et de loisirs que vous laissez de coté. C’est un choix et, comme disait Édith Piaf : "Non, je ne regrette rien !". Bien au contraire ! Après, il faut trouver une organisation afin de pouvoir effectuer le stage demandé, etc. Dans mon cas, j’ai dû épargner et demander un congé sabbatique à mon employeur pour faire le stage de six mois. En tout cas, ce qui me semblait une "mission impossible" au départ, s'est concrétisée, et je suis ravie d’avoir suivi ces enseignements."
Lire le témoignage de Ghislaine, élève en licence et master Territoires